lundi 25 mai 2015

Ça bouge en Franche-Comté

Appel constitutif d’un rassemblement citoyenen Bourgogne-Franche-Comté


Parce qu’une alternative citoyenne, écologique, sociale et solidaire est possible

Pour en savoir plus et signer l'appel 

jeudi 21 mai 2015

Élections régionales:vers un raz-de-marée citoyen !

Porte-parole de Nouvelle Donne, Joseph Boussion appelle à un rassemblement des mouvements citoyens pour les élections régionales de décembre.

 Très bel article dans Politis de notre ami  Joseph

Pour en savoir plus c'est :   ICI

Ça bouge dans le Jura






































 

vendredi 15 mai 2015

Pourquoi est-il si heureux?


Pourquoi Bouziane Belghorzi, athlète au Dole Athlétique Club, résidant à Dole dans le Jura, travaillant dans cette même ville,  est-il si heureux? ......

COLLÈGE:Qui dérange? la réforme ou la Ministre?






Depuis quelques  semaines, le débat sur la réforme du collège navigue de surenchère en surenchère.
Derrière les déclarations hystériques sur la fin programmée de la civilisation occidentale  se niche l'HYPOCRISIE radicale de ceux qui n'ont aucun intérêt à ce que le système scolaire,  le plus inégalitaire des pays développés,   évolue.
Combien de farouches combattants de la réforme en ont lu trois lignes?
Qui les dérange? la réforme? une femme Ministre?Une femme Ministre d'origine maghrébine?
Et votre député,  a t-il un avis personnel  ou répète il ce qu'il entend ou ce qu'on lui dit de dire ?

mercredi 6 mai 2015

La Grèce, une chance pour l'Europe ! Signer l’appel

Le 25 janvier 2015, le peuple grec a pris son destin en main. Il a décidé d’en finir avec les politiques d’austérité qui l'ont humilié et plongé dans la misère. Dans les pays victimes de la Troïka et dans bien d'autres pays européens, la victoire de Syriza a été perçue comme un espoir d'en finir avec ces politiques profitables aux puissances financières, désastreuses pour le monde du travail et la société dans son ensemble.
Mais les institutions et les dirigeants européens refusent que le nouveau gouvernement applique ses engagements électoraux, comme le rétablissement du salaire minimum et des conventions collectives. Ils menacent d'interrompre le refinancement de la dette grecque, ce qui impliquerait le défaut de la Grèce et sa possible expulsion de l'euro. La Banque centrale européenne, outrepassant son mandat, a déjà coupé sa principale ligne de financement aux banques grecques. À l'évidence, il s'agit de faire un exemple pour montrer qu’il n’y a pas d’alternative possible.
Les grands médias ont relayé un discours de discorde entre peuples européens : les Grecs irresponsables voudraient continuer leurs excès et les faire payer aux contribuables des autres pays.
La réalité est bien différente. Comme le montrent les études et les audits citoyens de la dette qui se multiplient en Europe, partout l’explosion des dettes publiques est pour l'essentiel le résultat non d'une hausse des dépenses sociales mais de taux d'intérêts excessifs, du coût du sauvetage des banques sur fonds publics après 2008, et de la chute des recettes publiques. Celle-ci a elle-même résulté des cadeaux fiscaux au patronat et de l’évasion fiscale des riches, puis de la crise financière, et enfin de l’austérité qui détruit la société et bloque la transition écologique. En Grèce, une commission d’audit a été mise en place afin de faire la vérité sur la dette grecque.
Parlant de son élection en 2012, François Hollande disait qu'elle serait en Europe « un soulagement, un espoir, l'idée qu'enfin l'austérité ne pouvait plus être une fatalité». Aujourd'hui les dirigeants de l’Eurogroupe œuvrent à humilier la Grèce qui refuse cette fatalité. Face au chantage, le gouvernement grec a signé le 20 février un accord temporaire qui limite fortement ses marges de manœuvre. A l'expiration de cet accord en juin, de nouvelles négociations vont décider du sort de la Grèce et de l'Europe.
Nous demandons instamment à François Hollande de s'opposer à l’étranglement financier de la Grèce, ce double déni de démocratie par lequel il renie ses engagements devant les Français et nie le droit des Grecs à décider de leur destin. Nous appelons nos députés, élus de juin 2012, à se rappeler pourquoi et pour quoi ils ont été élus. Nous participerons aux actions conjointes organisées à la mi-juin à l'initiative des mouvements sociaux européens, à partir de nos villages et quartiers, de nos lieux de travail et d’étude, pour dire ensemble: nous sommes avec les Grecs pour la dignité et la justice, pour une autre Europe.