mercredi 29 avril 2009
"L’année 2009 sera cauchemardesque” selon l'OCDE
La souffrance sociale devient insupportable et chacun de nous s’inquiète pour son avenir et celui des ses proches.
Tous les économistes s’accordent à reconnaitre le déséquilibre croissant de la répartition des richesses :
jamais la part des salaires n’a été aussi faible en France.
Nicolas Sarkozy n’apporte aucune solution et depuis deux ans le gouvernement n’a rien fait de sérieux pour combattre le chômage et la précarité.
Mobilisons nous autour d’un objectif ambitieux :
Créer au moins 2 millions d’emplois !
Pour que la société civile, les syndicats, les élus et les associations construisent un nouveau pacte social qui répondra à la crise.
Soutenez cette inititiative à l’appel du collectif NOUVELLE DONNE et de Pierre LARROUTUROU, économiste ; Alain TRAUTMANN, chercheur, fondateur de Sauvons La Recherche ; Patrick PELLOUX, médecin, ancien Président de l’association des Urgentistes ;Eric HALPHEN, juge ; Cécile DUFLOT, secrétaire nationale des Verts ; Marielle de SARNEZ, vice Présidente du MODEM, Jean-Paul HUCHON, Président de la région île de France ; Noël MAMÈRE, Député de Gironde ; Marie BLANDIN, ancienne Présidente de la région Nord Pas de Calais, Sénatrice ; Corinne LEPAGE, ancienne ministre de l'Environnement ; Olivier FERRAND, Président de Terra Nova ; Louis WEBER, Président de l’Institut de recherche de la FSU ; Henri AUDIER, Directeur de Recherche au CNRS ; Roland GORI, Professeur des Universités et initiateur de l’Appel des Appels ; Frédéric TRICOT, secrétaire Général de NOUVELLE GAUCHE ; Manuel DOMERGUE, Président de GÉNÉRATION PRÉCAIRE ; Jérôme LAMBERT, Député de la Charente ; Claudy LEBRETON, Président du conseil général des Côte d’Armor ; Régis JUANICO, député de la Loire ; Jean Patrick GILLE, Député d'Indre-et-Loire ; Laurent BEAUVAIS, Président du Conseil Régional de Basse-Normandie ; Jean-Paul DENANOT, Président du conseil régional du Limousin ; Ismaïla WANE, Conseiller Général de Maurepas ; Emmanuelle PERREUX, Présidente du SYNDICAT DE LA MAGISTRATURE ; l’hebdomadaire MARIANNE et plus de 800 Citoyens, issus de toutes les régions de France.
Exigeons la tenue d’Etats Généraux de l’Emploi !
Le chômage dans le Jura
9 083 Chômeurs dans le Jura
44 % D'augmentation sur un an
4.5 % De hausse sur un mois
Plus de 1 million d'heures de chômage partiel demandées par 199 entreprises représentant plus de 5000 salariés
8 Mois de hausse continue du chômage
10 Une dizaine de plans de sauvegarde en cours
lundi 27 avril 2009
Fédération Hospitalière de France Clarifier les débats
La mise en œuvre de la tarification à l'activité et la convergence tarifaire entre hôpitaux publics et cliniques privées sont régulièrement évoquées à l'occasion des discussions autour du projet de loi HPST.
La FHF a toujours soutenu le principe d'une tarification à l'activité, qui constitue le mode de financement des hôpitaux le plus efficace et le plus équitable.
La FHF rappelle en revanche qu'elle a toujours été opposée à cette convergence qui méconnaît le rôle de recours et les nombreuses missions assumées sans financement par l'hospitalisation publique, mais également les contraintes qui sont celles du service public hospitalier : permanence des soins, accueil non programmé, prise en charge de patients en grandes difficultés…
C'est pourquoi la FHF demande au Gouvernement de clarifier très rapidement cette question qui dénature les discussions, et de montrer son attachement au service public en proposant au vote du Parlement, dans le cadre de la loi HPST et sans attendre le prochain PLFSS, la suppression du principe même de cette convergence tant que des comparaisons équitables ne seront pas possibles ou n'auront pas été correctement documentées.
Claude Evin, Président Gérard Vincent, Délégué Général
Pas de limite aux dépassements d’honoraires
Pour sa part, Jean Pierre Davant, président de la mutualté française qui rappelle les engagements du président de la république et de ses ministres souligne que « si le gouvernement reniait ses engagements, cela remettrait en cause toute la politique de concertation qui vise à moderniser le système de santé et la Mutualité Française en tirerait toutes les conséquences ».
A quoi servent les OGM ?
Le cumul des mandats, en finir
« Il ne s'est pas passé cinq minutes sans que nous soyons dérangés par le téléphone. Un supermarché voulait s'agrandir à Yssingeaux et le Ministre devait évidemment donner son avis sur la procédure à suivre s'il mordait sur le trottoir puis, cinq minutes plus tard, s'il agrandissait son parking... Le supermarché d'Yssingeaux et quelques autres dossiers départementaux ont fait que nous n'avons jamais eu plus de cinq minutes de discussion continue. « C'est comme ça tous les jours... » m'a dit le Ministre pour que je le plaigne ou que je mesure la chance que j'avais d'être reçu par un homme aussi important. Je me suis renseigné ensuite auprès d'un de ses collaborateurs : cette journée n'avait effectivement rien d'extraordinaire. C'est le rythme normal d'un Ministre cumulard.
Je suis persuadé que Jacques Barrot a quitté le Ministère comme il y est rentré : sans avoir pris 48 heures de calme pour réfléchir à fond à l'un des dossiers dont il avait la charge.
Mais ce constat vaut aussi pour Elisabeth Guigou. Ministre de l'emploi, de la Sécurité sociale, de la Santé, de la Ville, des Droits des femmes...., Présidente de la commission du développement économique de la région Provence Alpes Côte d'Azur, Elisabeth Guigou voulait aussi être maire d'Avignon. Comment s'étonner avec autant de dossiers à suivre que certains Avignonnais aient hésité à lui confier leur avenir ? »
On pourrait, hélas, multiplier les exemples. « Près de 50% des parlementaires français ont trois mandats. 40% en ont deux. Il n'y a que 10% des parlementaires qui sont «seulement » député ou «seulement» sénateur.» déplore Albine Villeger, membre de l'association "Pour le mandat unique".
Paul Quilés, ancien Ministre socialiste, l'affirme avec force : «Il ne faut pas que les socialistes se masquent la vérité : je suis Président d'une commission à l'Assemblée nationale. Je sais ce qu'il s'y passe. Sur 80 députés inscrits dans cette commission, 30 ne viendront jamais en cinq ans. Si nous sommes 10, 15 ou 20 aux réunions, c'est un maximum. Ce n'est pas normal. Je propose que le député devienne un député à plein temps. C'est à dire plus de cumul de mandats et pas de cumul avec d'autres fonctions.»
Ayons à l'esprit aussi ce qu'écrivait le directeur de cabinet de Lionel Jospin, Olivier Schrameck, dans, Matignon Rive gauche, livre publié en 2001 : « Dans l'activité d'un Ministre, il est des tâches incompressibles de représentation et de communication. Dés lors, s'il n'est présent à Paris que trois, a fortiori deux jours par semaine (...) la part du travail technique avec ses collaborateurs et avec ses collègues ministres est réduite à la portion congrue. Le Ministre est vite cantonné dans le rôle de porte voix de son Ministère.»
Voilà, tout est dit : le Ministre est transformé en simple porte voix des hauts fonctionnaires de son Ministère !
Des Ministres absents parce qu'ils cumulent. Des députés absents eux aussi à cause du cumul... Comme la nature a horreur du vide, la technocratie remplace la démocratie. Mais les hauts fonctionnaires ne sont pas élus sur un projet. Il n'est pas de leur ressort de décider d'alternative. Ils sont plutôt formés à continuer tout droit. Et tout droit, on va dans le mur...
« Aucun cumul », telle doit être la loi.
« Un homme ou une femme et un mandat ou une fonction ». Tel doit être le strict principe. Et si l'on veut vraiment aller vers un meilleur partage des responsabilités, il faut aussi limiter dans le temps l'exercice d'un mandat donné. Dans de nombreuses villes, sachant qu'il pourra « éternellement » se succéder à lui-même, le député-maire a fait le vide autour de lui : il a dégoûté tous ceux et celles qui pouvaient lui faire de l'ombre et le parti (qu'il contrôle souvent) l'a laissé faire puisque le sortant peut être éternellement reconduit. Si le maire savait qu'il doit obligatoirement laisser la main à l'issue de son deuxième ou de son troisième mandat, il aurait le souci d'un fonctionnement plus collégial pour former de possibles successeurs, les tester. Pour ne pas laisser la mairie ou la place de député à un parti « ennemi », ses amis militants l'obligeraient à jouer collectif, à partager le pouvoir.
Dans de nombreux pays, la limitation à deux mandats successifs est la règle. Aux Etats Unis par exemple, Bill Clinton, quelle que soit sa popularité, savait qu'il ne pouvait pas se représenter. De même, le maire de New York, Rudolph Guliani quand il a terminé son deuxième mandat a du laisser la place. N'est-ce pas dommage de se priver de personnalités ayant fait leurs preuves ? demanderont certains. Mais rien n'interdit à Clinton de créer une fondation pour agir dans un domaine qui lui tient à coeur et continuer ainsi une action publique.
Jimmy Carter a reçu le Prix Nobel de la Paix grâce à la fondation qu'il a créée après avoir quitté le pouvoir. Aucun des dirigeants français qui s'accrochent à leur pouvoir, n'a jamais mené d'action méritant un prix Nobel...
La limitation à trois mandats successifs de même nature n'amène pas à éloigner des personnalités de valeur de l'action collective. Par contre elle permet un mouvement d'aération, d'oxygénation de la vie publique et oblige à un fonctionnement plus collégial.
samedi 25 avril 2009
mercredi 22 avril 2009
jeudi 16 avril 2009
La pauvreté en France
32,3 % de la population ne peut pas se payer une semaine de vacances dans l’année, 10 % recevoir des amis ou de la famille, 20,2 % jugent leur logement bruyant...
le 16 octobre 2008
La pauvreté en France
la France compte entre 4 et 8 millions de pauvres selon la définition adoptée...
le 16 octobre 2008
Les travailleurs pauvres en France
On compte entre 1,7 et 3,4 millions de travailleurs pauvres en France ...
le 16 septembre 2008
L’accès aux soins des plus pauvres
Les personnes les plus pauvres consultent plus rarement un médecin ou un spécialiste. 22 % d’entre elles, contre 7% du reste de la population, n’ont pas de couverture complémentaire.
le 22 novembre 2007
Les seuils de pauvreté en France
En France, un individu peut-être considéré comme "pauvre" quand ses revenus mensuels sont inférieurs à 681 euros ...
le 21 septembre 2007
La pauvreté selon l’âge
Parmi les 7,1 millions de personnes pauvres en France, plus de deux millions sont des enfants.
le 25 août 2007
Familles monoparentales et pauvreté
Avant transferts sociaux, 46 % des familles monoparentales disposent de revenus inférieurs au seuil de pauvreté ...
le 19 mars 2007
Inégaux face à la pauvreté
On compte 22,9% de pauvres parmi les non-diplômés, contre 5% pour les titulaires d’un bac technique ou d’un diplôme supérieur.
le 3 juillet 2006
mercredi 15 avril 2009
Lettre à Madame la Préfète du Jura
Dole, le 15 avril 2009
Patrick VIVERGE
Conseiller Général
du canton de Dole Nord-Est
Président du Groupe
« Agir à Gauche »
Madame la Préfète,
Depuis plusieurs mois, la situation économique et sociale projette dans la précarité de nombreux jurassiennes et jurassiens victimes du chômage partiel, de rupture de contrat à durée déterminée ou de licenciements.
Or, il apparaît hélas que la restructuration en un seul organisme POLE-EMPLOI, de l’ANPE et l’UNEDIC pose à présent de graves difficultés à ces personnes.
En effet, le versement de leur allocation peut être retardé d’un mois voire deux mois entraînant des situations de précarité extrêmes pour les familles obligées de solliciter des Aides d’Urgences du Département et des Centres Communaux d’Actions Social.
Madame la Préfète, vous serait-il possible d’intervenir rapidement pour que cesse un tel dysfonctionnement et ce, dans le respect de la dignité des usagers.
Je vous prie d’agréer, Madame la Préfète, mes salutations respectueuses.
Patrick VIVERGE.
Madame LE MOUEL Joëlle
Préfète du Jura
Préfecture du Jura
55 rue Saint Désiré
39000 LONS LE SAUNIER
BP 40408
39016 LONS LE SAUNIER Cedex
mardi 14 avril 2009
L’argent de la Cnsa sera-t-il enfin utilisé pour les personnes âgées et handicapées ?
« [...] En octobre 2008, les 31 organisations représentant ou intervenant auprès des personnes âgées et des personnes handicapées et membres du Conseil de la Cnsa avaient dénoncé l’insuffisance des budgets prévus pour l’année 2009 [...]
[elles] dénonçaient « le détournement des crédits de la Cnsa pour financer les engagements de l’Etat dans les contrats de Plan Etat-Région » [...]
les établissements d’accueil manquent cruellement de moyens alors que les excédents cumulés de la Cnsa seraient de 2 milliards d’euros ! [...] »
http://www.viva.presse.fr/L-argent-de-la-Cnsa-sera-t-il_11866.html
dimanche 12 avril 2009
Mobilisation du 08 avril 2009 devant le Tribunal de Dole
Un grand moment de solidarité ce mercredi 08 avril 2009 : une cinquantaine de militants « hors la loi » se sont réunis devant le tribunal de Dole pour dire :
NOUS DEMANDONS A ETRE POURSUIVIS POUR CE DELIT
jeudi 9 avril 2009
Travailleurs handicapés au Conseil Général
L'article L.323-2 du Code du travail impose 6% des effectifs.
- En 2008 nous en étions à 2.34 %
- En 2009 nous serons probablement entre 2.5 % et 3 %.
Un des problèmes est l’identification des personnes handicapées travaillant dans l’institution.
On ne peux pas le savoir par la Maison Départementale de la Personne Handicapée car elle n’est pas autorisée à communiquer les chiffres au Département.
Il existe des personnes qui pourraient être reclassées ; exemple : les gens qui font un travail difficile à la Direction Départementale de l’ Equipement , qui ne peuvent plus l’exercer et qui occupent un poste sans être officiellement reclassés.
Ces personnes pourraient être reclassées, avoir le statut de personnes handicapées, bénéficier d’une formation, changer de cadre d’emploi dans une filière administrative par exemple, mais ces personnes ne sont pas identifiées car parfois elles ne le sollicitent ou ne le souhaitent pas.
Donc problème d’identification de personnes.
-pas possible par la MDPH
-Problème du reclassement (inquiétude)
-Problème de refus d’être identifié comme handicapé.
Les efforts du Conseil Général :
Le Président Raquin à exprimé publiquement , sa volonté d’améliorer cette situation :
1/ en informant
2/ en recrutant
· Les recrutements pour l’institution, se font, en priorité, en interne mais sont également ouverts aux personnes handicapées, ce qui n’est pas une obligation légale, puis ils sont proposés en externe.
· Les personnes handicapées diplômées peuvent être recrutées sans concours. Elles ont alors un statut de stagiaires pendant un an, reconductible une fois, et peuvent être titularisées ensuite. ( disposition légale.)
· Il est possible également de faire travailler d’avantage les prestataires de services externes comme les Centres d’Aide par le Travail, ce qui permettrait d’atténuer le retard de recrutement de personnes en situation de handicap.
En résumé, Je suis bien conscient du retard du département.
Le Conseil Général a exprimé son souhait d’identifier les personnes en situation de handicap afin d’améliorer leur situation mais également par soucis de transparence.
Je m’engage personnellement à faire tout pour aller dans ce sens et à’ impulser une politique plus volontariste dans le recrutement de ces personnes en situation difficile.
NOTE SUR LES SERVICES SOCIAUX
C’est d’autant plus urgent, compte-tenu des positions gouvernementales avec la loi Borloo qui ouvre la concurrence en cette matière et le retard apporté par le même gouvernement à l’Etablissement d’un rapport sur les Services Sociaux à la personne, véritable exception française.
En effet, nous avons fondé notre cohésion sociale sur les Services Publics et en particulier sur les Services Sociaux, pour construire une société solidaire à l’égard des plus fragiles.
Les Services Sociaux sont les piliers essentiels de cette société que nous avons voulue moins individualiste que d’autres voisins européens.
Ces derniers reconnaissent cette spécificité française et pas seulement pour la critiquer .
Nous avons développé des Politiques Sociales fortes, que le contexte économique nous impose de renforcer.
mercredi 8 avril 2009
Lettre au Président du Conseil Général sur le Bouclier Social
Lors de la session du Conseil Général, le 27 mars dernier, j’ai exposé au nom des mes amis du Groupe « Agir à Gauche », les propositions relatives à ce que j’ai nommé le bouclier social, ou « plan social face à la crise » afin d’atténuer les effets catastrophiques de celle-ci sur les plus défavorisés de nos concitoyens.
Je viendrais ci-après vous rappeler les points principaux dont certains ont été évoqués dans vos propos.
- Les bourses scolaires : critères d’attribution pour les familles frappées par la chute brutale du pouvoir d’achat,
- Le Fond de Solidarité Logement : avec la nécessité de solliciter des cofinancements EDF, GDF-Suez, pour abonder ce fond.
- Les Secours d’Urgence : avec la recommandation à nos services de la DSSD d’établir, si cela n’est pas fait, une synergie d’action avec les Mairies, une augmentation substantielle de la valorisation de l’indice pour l’Aide à Domicile, laquelle n’a pas varié depuis 4 ans.
Enfin, nous voudrions vous entretenir de l’avancement du projet Pasteur.
Je souhaiterais que nous puissions vous rencontrer, André Vauchez, Vice-Président aux Affaires Sociales et moi-même, afin d’échanger en vue de la DM1.
Dans cette attente, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations respectueuses.
Patrick VIVERGE.
Président du Groupe
Agir à Gauche
Monsieur Jean RAQUIN
Président du Conseil général
17, Rue Rouget de Lisle
39039 LONS LE SAUNIER
mardi 7 avril 2009
Institut universitaire de Formation des Maitres
lundi 6 avril 2009
Vœu pour un IUFM à LONS LE SAUNIER
La suppression du site IUFM porterait un coup fatal à la formation supérieure dans notre département rural. Ce serait une atteinte à la vie culturelle et économique locale, particulièrement à LONS LE SAUNIER.
Le Conseil général rappelle l'objectif fixé par Madame la Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche en date du 9 février dernier: « Les IUFM sont désormais, par la loi d'orientation pour l'avenir de l'école de 2005, parties intégrantes des universités. Le réseau des IUFM, pour certains localisés dans des villes de taille moyenne qui ont su, grâce au soutien des collectivités territoriales, préserver un patrimoine immobilier héritier des anciennes écoles normales, a donc vocation à participer pleinement, sous l'autorité des universités, à cette nouvelle formation des enseignants ».
Considérant que le pôle de LONS LE SAUNIER répond à ces critères, le Conseil général demande le maintien de cette structure comme opérateur de la formation initiale et continue des futurs enseignants.
HOPTIAL RURAL DE NOZEROY : LE BOUT DU TUNNEL
Sous l’impulsion d’un exécutif très offensif sur ce projet, André Vauchez, comme Vice-Président aux Affaires Sociales et Jean Raquin, Président du Conseil Général, le calendrier de ce début d’année a permis de réunir une table ronde de tous les intervenants dont Monsieur le Directeur de l’Agence Régionale d’Hospitalisation très en pointe sur le dossier, des services de l’Etat, DASS, des élus de la Communauté de Communes et le Maire de Nozeroy.
Sa construction rapide permettra aux personnes âgées du secteur de Nozeroy de bénéficier d’une structure accueillante, fonctionnelle, où le personnel dévoué sera enfin placé dans des conditions de travail optimum, pour assurer sa mission auprès des résidents.
Le financement assuré par un important effort de l’ARH, du CNSA, (par le biais de la DDASS) des départements et des collectivités locales est un exemple de partenariat qui hélas ne serait plus possible si dans l’avenir l’Etat se retirait des hôpitaux ruraux.
Quelle belle réponse pour ceux qui ne voyaient dans cet important travail réalisé que des questions politiciennes de présence ou d’absence de tel ou tel Conseiller Général.
4e cercle du silence à Dole
place du 8 Mai, de 10h00 à 11h00
le Cercle de Silence.
dimanche 5 avril 2009
Bilan d'activité du mois de mars
Chômage dans le Jura
DOUBS +6.1 %
JURA +7,0 %
HAUTE SAONE +5,8 %
TERRITOIRE DE BELFORT +6,2 %
La variation du chômage sur un an de février 2008 à février 2009
DOUBS +33,9 %
JURA +40,3 %
HAUTE SAONE +32,7 %
TERRITOIRE DE BELFORT +29,1 %