mercredi 30 octobre 2013

Allocation aux adultes handicapés

Allocation aux adultes handicapés : + 1,75 % à partir du 1er septembre 2013 
Le montant maximum de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) doit être porté à 790,18 euros par mois à compter des allocations dues au titre du mois de septembre 2013 (contre 776,59 euros auparavant)…. 
Service Public - 2013-09-02 

jeudi 24 octobre 2013

Évolution de la délinquance dans le Jura

Trois indicateurs permanents, suivis depuis 2010, permettent une analyse précise de l’évolution de la délinquance dans le Jura..
Les atteintes volontaires à l’intégrité physique (AVIP) : avec 1049 infractions en 2012 soit 54 de plus qu’en 2011 (+ 5,5%), le Jura fait partie des départements les moins criminogènes et est classé 83ème sur 96 au
plan national au regard du ratio du nombre de violences physiques rapporté à la population. Il convient de noter une baisse de 5 % des violences intra-familiales.

Les atteintes aux biens (AAB) : avec 5 285 infractions en 2012 soit 392 de plus qu’en 2011 (+ 8%), le Jura se situe au 77ème rang sur 96.

Les escroqueries et infractions économiques et financières (EIEF) : avec 953 infractions en 2012 soit 166 de moins par rapport à 2011 (- 15 %), le Jura est classé en 74ème position sur 96 dans un contexte de forte diminution de cet indicateur au niveau national.

S’agissant de la délinquance des mineurs, on constate une diminution significative du nombre de mineurs mis en cause de l'ordre de 28 % (468 en 2012 contre 547 en 2011). La part de la délinquance des mineurs dans la délinquance globale diminue ainsi de 1,5 point pour représenter 17,5 % des faits constatés.
Les faits de trafic et de revente de stupéfiants sont quant à eux, en baisse de 28% par rapport à 2011 (49 faits contre 68). L’action des services compétents a permis le démantèlement de deux réseaux de trafic à Lons-le-Saunier et à Champagnole au cours de l’année.

Grand Dole? Enjeu capital?



mercredi 23 octobre 2013

Refus des socialiste de durcir la taxe sur les transactions financières !


La « taxe Tobin », dans sa version française, devait rapporter 600 millions d'euros auxcaisses de l'État, très en deçà des pronostics du début d'année (1,6 milliard d'euros). D'où la volonté de certains de durcir la taxe, pour lever davantage d'argent – et, au passage, freiner la spéculation.
Le gouvernement envoie un signal désastreux à ses partenaires européens, à un moment où le dossier s'est enlisé à Bruxelles (lire notre article) : rien ne presse pour mettre le secteur financier à contribution, semble-t-il penser. 
Lire l'article http://www.mediapart.fr/journal/france/221013/taxe-tobin-les-deputes-plient-devant-bercy

samedi 19 octobre 2013

Réunion publique: Dans le Jura pouvons nous lutter contre les paradis fiscaux ?

Débat d'orientation budgétaire: Réunion publique 

Monsieur le Président, mes Chères collègues

Le mardi 17 septembre, Pierre Moscovici disait sur France 2 à l’émission les 4 vérités   « C’est un  cercle vertueux que nous voulons créer , celui de la croissance et de l’emploi »

 En un an, près de 900 000 hommes & femmes sans compter leurs conjoints et enfants ont vu leur vie basculer ! «  Il y a eu 52 000 chômeurs supplémentaires le mois dernier », affirmait fin août le Ministère du Travail. Chiffre dramatique, mais il donne une vision trop optimiste de la réalité, car en un mois ce sont 54 000 personnes qui se sont inscrites à Pôle Emploi.  
Même si le nombre officiel de chômeurs baissait de 30 000 ou de 40 000 le mois prochain, le chômage réel (inscrits à Pôle emploi et chômeurs en fin de droits) continuerait d’augmenter.  Parmi ceux qui retrouvent un emploi, combien doivent se contenter d’emplois précaires ? Les CDD représentent 84 % des embauches réalisées depuis le début de l’année. Les CDI à temps plein, moins de 10 % ! Jamais notre pays n’a connu un tel niveau de chômage. Jamais une telle précarité. Jamais autant de pauvreté !  

 Pour sortir de ce chômage de masse, faut-il miser sur la croissance ? Vu les gains de productivité réalisés chaque année et l’augmentation de la population active, il faudrait 2.5 % de croissance pour faire reculer le chômage. Or, cela fait plus de trente ans que nous n’avons pas ces 2.5 %.  

Comme l’écrit Patrick Artus, directeur des études de NATIXIS, dans une note du 23 septembre 2013, tous ceux qui affirment   que  «  la crise est finie font preuve  d’un « optimisme de fatigue » : après cinq ans de crise, ils en ont marre de ressasser des mauvaises nouvelles. C’est humain !   

Notre système libéral se nourrit de la dette. Rassurer les Français c’est les pousser à consommer, à emprunter (Crédit Immobilier, Crédit à la Consommation) pour relancer,  pour faire frémir la machine et politiquement être satisfait.
Les taux d’intérêt n’ont jamais été aussi bas, il n’y a jamais eu autant de publicité à la télé pour les sociétés de crédit, ou par les banques. Créer de la dette privée permettra de ne pas toucher au système économique, de ne rien remettre en cause.

Savez-vous de combien est l’imposition sur les bénéfices des sociétés aux USA ? 40 %. Et en France-Europe ? 24 % et encore, les multinationales sont imposés à 8 %, c’est-à-dire qu’au lieu d’imposer les grandes entreprises sur les bénéfices et redistribuer  aux salariés  ou  financer les services publics, l’enseignement, la santé, ou les Collectivités territoriales ; on préfère ne pas ou peu toucher à la fiscalité et laisser ces grandes  entreprises redistribuer leurs bénéfices à leurs actionnaires.
 En 2013, les sociétés du CAC 40 verseront 40 milliards de dividendes à leurs actionnaires.  Alors  que les PME PMI, les petites entreprises ,  l’ artisanats sont en souffrances 
Les entreprises de moins de dix salariés (TPE) souffrent le plus, avec 90 % des défaillances. Les PME d'au moins 50 salariés suivent, atteignant le plus grand nombre de faillites depuis 2009.
 Il est donc important de les accompagner d’une façon pertinente et efficace à la mesure de l’enjeu.  L’AIE semble bien dérisoire et largement dépassée.

Il y a des solutions avant de s’éclater dans le mur, c’est la fiscalité progressive, juste, et mettre fin au sabordage fiscal national

 Le rapport du député UMP Gilles Carrez publié le 5 juillet 2010 montre   que si nous revenions simplement à la fiscalité qui existait en 2000 (nul ne la jugeait confiscatoire ou sovietiforme),  nous aurions chaque année 100 milliards de plus dans les caisses, notre déficit se transformerait en excédent !

Il y a également la lutte contre les paradis fiscaux et nous avons un rôle à jouer.

Une citation: “On n’est pas allés chercher les 60 à 80 milliards de fraude fiscale mais on a limité le smic, les allocations, geler les salaires, pris sur les petites retraites.
Ce n’est pas possible que les 500 premières familles gagnent 271 milliards, presque le budget de l’état, et que l’on bloque les services publics, les allocations familiales, les besoins immenses en santé, en école, en salaires. Ce n’est pas possible que les banques qui nous ont conduits dans le mur se partagent 18 milliards de dividendes l’an passé. Le CAC 40 sur 86 milliards de bénéfice paie des impôts dérisoires et reversent 37 milliards de dividendes qui ne servent à rien, qui n’ont aucune utilité sociale, qui alimentent le spéculation qui elle-même ferme nos usines et multiplie les chômeurs.”     Gerard Filloche membre du BN du PS,  le 9 avril 2013
C’est certain, nous ne sommes  pas responsables de ce qui arrive, mais nous  serions  coupables si nous ne faisions rien ou si nous faisions  croire à une embellie économique.
Face à ce diagnostic, il y a une réalité : Principe de réalité.

1/ Notre combat depuis des années pour le remboursement de la dette de l’Etat vis-à-vis de notre collectivité : 74 Millions d’€uros évalué par le cabinet Kloepfler est effacée de plus  nous entérinons la diminution des dotations de l’Etat pour notre collectivité. …Le chapeau est dur à avaler pour un homme de gauche!
2/ Il faut donc Prévoir l’augmentation de la précarité due à l’endettement privé  qui se traduit par un certain nombres de signes  comme l’augmentation des dépenses sociales en  général.
3/Anticiper la précarité énergétique, Huit millions de Français souffrent du froid chez eux, trop pauvres pour se chauffer. La gêne qu’ils subissent dépasse le niveau du simple inconfort : ils en tombent malades, au point que la précarité énergétique devient un enjeu de santé.
La Santé voilà un enjeu important pour nous
4/Comment se soigner ?  Cette année, un Français sur trois a déjà renoncé à des soins médicaux pour raisons financières. C'est ce que révèle le dernier baromètre santé mené par Europ Assistance et le CSA. Et, sans surprise, les soins dentaires et les lunettes sont les premiers concernés  .
Il nous faut organiser la santé et la prévention d’une façon globale, en évitant tout clientélisme. J’ aimerais d’ailleurs savoir ou en est l’observatoire promis depuis que TFP était vice président aux politique territoriales c’est à dire depuis 2009 environ, voilà un excellent outil pour avoir une politique de santé cohérente et non clientéliste.
  Les défibrillateurs sont probablement une bonne chose mais leurs dotations doit s’inscrire dans une politique plus large  de prévention des pathologies courantes ( AVC etc…)
Arrêtons  le financement irraisonné par de l’argent public,   des maisons de santé. Celles  qui n’ont aucune pertinence territoriale, démographique et surtout inefficace dans l’offre de soin. (Authume pour ne pas la nommer)
Il faut un schéma raisonné, intelligent en partenariat avec la faculté de médecine, avec les praticiens pour ces maisons.
-  les Détecteurs d’incendie aux personnes de plus de 70 ans gratuitement installés par les sapeurs pompiers, voilà une belle action de communication et de prévention efficace !.
Donner accès aux personnes âgées à des maisons de retraites publiques décentes et accessibles financièrement voilà encore un effort à faire.  

Concernant la fiscalité Départementale, nous sommes JTG,  favorable à ne pas l’augmenter, mais nous pouvons aller plus loin
Je pense que les inégalités sociales nuisent gravement à la santé

Nous pouvons, lutter contre les paradis fiscaux ? A notre niveau

En boycottant les entreprises ayant des filiales dans ces paradis fiscaux : l’État et l’ensemble des collectivités locales (régions, départements, communes et communautés de communes…) ne doivent plus accorder aucun marché public à une entreprise (banques, entreprise de travaux publics, fournisseurs de systèmes informatiques…) qui a des filiales dans des paradis fiscaux et qui échappe ainsi aux impôts qui financent l’école, la santé, la police ou les retraites. Nous pouvons être vertueux et entraîner avec nous les autres collectivités. En clair ne plus emprunter aux banques ayant des filiales dans les paradis fiscaux et le faire savoir
Nous avons un devoir de vérité et de transparence Ce qui m’inquiète n’est pas ce qui est dit à tout niveau, pour des raisons électorales évidentes,  mais que les Français, les Jurassiens puissent le croire , changent leur comportement et se trouvent en  grande difficulté   

Sans cette exigence de vérité, je crains  que nous puissions voir,  un jour dans cette assemblée,   des conseillers départementaux flirtant d’un peu trop prés avec des idées portées par l’extrême  droite.
 Mais le FN  n’est pas un parti d’extrême droite, et  je ne suis d’ailleurs pas  conseiller général mais le découvreur du boson, Higgs n’est qu’un usurpateur.

Je vous remercie.

vendredi 18 octobre 2013

Débat d'orientation budgétaire: Réunion publique

 


         
Zone de Texte:               D.O.B 2013 


Dole, le 18 octobre 201Monsieur le Président, mes Chères collègues
Le mardi 17 septembre, Pierre Moscovici disait sur France 2 à l’émission les 4 vérités   « C’est un  cercle vertueux que nous voulons créer , celui de la croissance et de l’emploi »
 En un an, près de 900 000 hommes & femmes sans compter leurs conjoints et enfants ont vu leur vie basculer ! «  Il y a eu 52 000 chômeurs supplémentaires le mois dernier », affirmait fin août le Ministère du Travail. Chiffre dramatique, mais il donne une vision trop optimiste de la réalité, car en un mois ce sont 54 000 personnes qui se sont inscrites à Pôle Emploi.  
  Même si le nombre officiel de chômeurs baissait de 30 000 ou de 40 000 le mois prochain, le chômage réel (inscrits à Pôle emploi et chômeurs en fin de droits) continuerait d’augmenter.  Parmi ceux qui retrouvent un emploi, combien doivent se contenter d’emplois précaires ? Les CDD représentent 84 % des embauches réalisées depuis le début de l’année. Les CDI à temps plein, moins de 10 % ! Jamais notre pays n’a connu un tel niveau de chômage. Jamais une telle précarité. Jamais autant de pauvreté !  
 Pour sortir de ce chômage de masse, faut-il miser sur la croissance ? Vu les gains de productivité réalisés chaque année et l’augmentation de la population active, il faudrait 2.5 % de croissance pour faire reculer le chômage. Or, cela fait plus de trente ans que nous n’avons pas ces 2.5 %.  
Comme l’écrit Patrick Artus, directeur des études de NATIXIS, dans une note du 23 septembre 2013, tous ceux qui affirment   que  «  la crise est finie font preuve  d’un « optimisme de fatigue » : après cinq ans de crise, ils en ont marre de ressasser des mauvaises nouvelles. C’est humain !   
Notre système libéral se nourrit de la dette. Rassurer les Français c’est les pousser à consommer, à emprunter (Crédit Immobilier, Crédit à la Consommation) pour relancer,  pour faire frémir la machine et politiquement être satisfait.
 


Les taux d’intérêt n’ont jamais été aussi bas, il n’y a jamais eu autant de publicité à la télé pour les sociétés de crédit, ou par les banques. Créer de la dette privée permettra de ne pas toucher au système économique, de ne rien remettre en cause.
Savez-vous de combien est l’imposition sur les bénéfices des sociétés aux USA ? 40 %. Et en France-Europe ? 24 % et encore, les multinationales sont imposés à 8 %, c’est-à-dire qu’au lieu d’imposer les grandes entreprises sur les bénéfices et redistribuer  aux salariés  ou  financer les services publics, l’enseignement, la santé, ou les Collectivités territoriales ; on préfère ne pas ou peu toucher à la fiscalité et laisser ces grandes  entreprises redistribuer leurs bénéfices à leurs actionnaires.
En 2013, les sociétés du CAC 40 verseront 40 milliards de dividendes à leurs actionnaires.  Alors  que les PME PMI,  LES PETITES ENTREPRISES,  l’ artisanats sont EN SOUFFRANCE.
Les entreprises de moins de dix salariés (TPE) souffrent le plus, avec 90 % des défaillances. Les PME d'au moins 50 salariés suivent, atteignant le plus grand nombre de faillites depuis 2009.
 Il est donc important de les accompagner d’une façon pertinente et efficace à la mesure de l’enjeu.  L’AIE semble bien dérisoire et largement dépassée.

Il y a des solutions avant de s’éclater dans le mur, c’est la fiscalité progressive, juste, et mettre fin au sabordage fiscal national

 Le rapport du député UMP Gilles Carrez publié le 5 juillet 2010 montre   que si nous revenions simplement à la fiscalité qui existait en 2000 (nul ne la jugeait confiscatoire ou sovietiforme),  nous aurions chaque année 100 milliards de plus dans les caisses, notre déficit se transformerait en excédent !
Il y a également la lutte contre les paradis fiscaux et nous avons un rôle à jouer.
Une citation “On n’est pas allés chercher les 60 à 80 milliards de fraude fiscale mais on a limité le smic, les allocations, geler les salaires, pris sur les petites retraites.

Ce n’est pas possible que les 500 premières familles gagnent 271 milliards, presque le budget de l’état, et que l’on bloque les services publics, les allocations familiales, les besoins immenses en santé, en école, en salaires. Ce n’est pas possible que les banques qui nous ont conduits dans le mur se partagent 18 milliards de dividendes l’an passé. Le CAC 40 sur 86 milliards de bénéfice paie des impôts dérisoires et reversent 37 milliards de dividendes qui ne servent à rien, qui n’ont aucune utilité sociale, qui alimentent le spéculation qui elle-même ferme nos usines et multiplie les chômeurs.”     Gerard Filloche membre du BN du PS,  le 9 avril 2013
C’est certain, nous ne sommes  pas responsables de ce qui arrive, mais nous  serions  coupables si nous ne faisions rien ou si nous faisions  croire à une embellie économique.
Face à ce diagnostic, il y a une réalité : Principe de réalité
1/ Notre combat depuis des années pour le remboursement de la dette de l’Etat vis-à-vis de notre collectivité : 74 Millions d’€uros évalué par le cabinet Kloepfler est effacée de plus  nous entérinons la diminution des dotations de l’Etat pour notre collectivité. …Le chapeau est dur à avaler pour un homme de gauche!
2/ Il faut donc Prévoir l’augmentation de la précarité due à l’endettement privé  qui se traduit par un certain nombres de signes  comme l’augmentation des dépenses sociales en  général.
3/Anticiper la précarité énergétique, Huit millions de Français souffrent du froid chez eux, trop pauvres pour se chauffer. La gêne qu’ils subissent dépasse le niveau du simple inconfort : ils en tombent malades, au point que la précarité énergétique devient un enjeu de santé.
La Santé voilà un enjeu important pour nous
4/Comment se soigner ?  Cette année, un Français sur trois a déjà renoncé à des soins médicaux pour raisons financières. C'est ce que révèle le dernier baromètre santé mené par Europ Assistance et le CSA. Et, sans surprise, les soins dentaires et les lunettes sont les premiers concernés  .
Il nous faut organiser la santé et la prévention d’une façon globale, en évitant tout clientélisme. J’ aimerais d’ailleurs savoir ou en est l’observatoire promis depuis que TFP était vice président aux politique territoriales c’est à dire depuis 2009 environ, voilà un excellent outil pour avoir une politique de santé cohérente et non clientéliste.
  Les défibrillateurs sont probablement une bonne chose mais leurs dotations doit s’inscrire dans une politique plus large  de prévention des pathologies courantes ( AVC etc…)
Arrêtons  le financement irraisonné par de l’argent public,   des maisons de santé. Celles  qui n’ont aucune pertinence territoriale, démographique et surtout inefficace dans l’offre de soin. (Authume pour ne pas la nommer)
Il faut un schéma raisonné, intelligent en partenariat avec la faculté de médecine, avec les praticiens pour ces maisons.
-  les Détecteurs d’incendie aux personnes de plus de 70 ans gratuitement installés par les sapeurs pompiers, voilà une belle action de communication et de prévention efficace !.
Donner accès aux personnes âgées à des maisons de retraites publiques décentes et accessibles financièrement voilà encore un effort à faire.  Concernant la fiscalité Départementale, nous sommes JTG,  favorable à ne pas l’augmenter, mais nous pouvons aller plus loin
Je pense que les inégalités sociales nuisent gravement à la santé

Nous pouvons, lutter contre les paradis fiscaux ? A notre niveau
En boycottant les entreprises ayant des filiales dans ces paradis fiscaux : l’État et l’ensemble des collectivités locales (régions, départements, communes et communautés de communes…) ne doivent plus accorder aucun marché public à une entreprise (banques, entreprise de travaux publics, fournisseurs de systèmes informatiques…) qui a des filiales dans des paradis fiscaux et qui échappe ainsi aux impôts qui financent l’école, la santé, la police ou les retraites. Nous pouvons être vertueux et entrainer avec nous les autres collectivités. En clair ne plus emprunter aux banques ayant des filiales dans les pardis fiscaux et le faire savoir
Nous avons un devoir de vérité et de transparence Ce qui m’inquiète n’est pas ce qui est dit à tout niveau, pour des raisons




électorales évidentes,  mais que les Français, les Jurassiens puissent le croire , changent leur comportement et se trouvent en grandes détresses pour les plus démunis.
Sans cette exigence de vérité, je crains  que nous puissions voir,  un jour dans cette assemblée,   des conseillers départementaux flirtant d’un peu trop prés avec des idées portées par l’extrême  droite.
 Mais le FN  n’est pas un parti d’extrême droite, et  je ne suis d’ailleurs pas  conseiller général mais le découvreur du boson, Higgs n’est qu’un usurpateur.

Je vous remercie.

mardi 15 octobre 2013

COMMUNIQUE DE PRESSE

Les médecins des services d'urgence, en mettant en évidence les difficultés de leurs conditions d'exercice, traduisent la pression croissante qui s'exerce sur les urgences des hôpitaux publics.

L'hôpital public est en effet de plus en plus sollicité par nos concitoyens, et le nombre de patients accueillis aux urgences ne cesse d'augmenter.

La FHF Franche-Comté, qui représente l'ensemble des hôpitaux publics de la région, salue l'engagement des personnels hospitaliers, qui ont permis jusqu'ici de garantir aux patients des soins de qualité.

Les responsables hospitaliers sont résolument engagés, comme le préconise le rapport récent du Conseil National de l'Urgence Hospitalière, dans la mobilisation de tous les acteurs de l'hôpital pour mieux accueillir les patients, réduire les délais d'attente, et mieux organiser leur prise en charge au sein de l'hôpital.

En Franche-Comté, ils participent activement aux projets de réorganisation des urgences pré-hospitalières, qui doivent concilier qualité et rapidité de la prise en charge.

Cependant, si l'hôpital fait face à ses missions de service public, la FHF rappelle qu'il est de la responsabilité des pouvoirs publics :

·        de remédier au financement insuffisant des missions d'urgence des hôpitaux (SAMU, SMUR, Services d'Urgences, Urgences psychiatriques),

·         d'améliorer l’organisation, en amont des urgences, en s’engageant dans une politique volontariste pour mieux répartir les médecins généralistes et spécialistes sur les territoires, pour faciliter l’accès financier aux soins, et pour améliorer la participation de la médecine libérale à la prise en charge des urgences, notamment pour celles qui ne nécessitent pas un recours à l'hôpital,

·         de permettre une meilleure sortie des patients, à l'issue de leur séjour hospitalier, en renforçant les moyens et le nombre de lits des structures d'aval que constituent les services de soins de suite et de réadaptation, et les maisons de retraite (EHPAD) médicalisées.


                                                                                              Paulette GUINCHARD,
                                                                                              Ancienne ministre
                                                                                              Présidente de la FHF Franche-Comté


 Contact presse: Denis VALZER, Délégué Régional 07.86.82.34.07

samedi 12 octobre 2013

Les pendules sont elles à l'heure?

La richesse mondiale a doublé depuis 2000 (et 9 autres chiffres révoltants)

46% du patrimoine mondial est détenu par 1% des ménages

La richesse mondiale a crû de 4,9% entre mi-2012 et mi-2013, la période examinée par Crédit suisse, et de 68% ces dix dernières années.Le pourcent le plus fortuné des ménages commence à 753 000 dollars (557 000 euros) et amasse 46% du patrimoine mondial – part en hausse –, tandis que les deux tiers des ménages, dont le patrimoine reste stable, ne représentent que 3% de la richesse globale.Il faut avoir un patrimoine de 4 000 dollars (environ 3 000 euros) pour être dans la moitié la plus riche du globe, et de 75 000 dollars (55 500 euros) pour être dans la tranche des 10% les plus riches. 


25% de travailleurs pauvres en Allemagne

31 millions : le nombre de millionnaires en dollars

5 :  nombre de pays en Europe où le chômage des jeunes dépasse 50%

7e : la position de la France dans la hiérarchie des plus gros patrimoines moyen

14% de la population française sous le seuil de pauvreté

40 : part des Chinois dans la « classe moyenne » mondiale

40% : l’augmentation du taux de suicide en Grèce au premier semestre 2011

35% de la richesse russe est détenue par 110 personnes



vendredi 11 octobre 2013

Lettre à Vincent Peillon Ministre de l'Education Nationale

Tout comme à Salins les Bains à Champvans les parents d’élèves agissent

Association des Parents d'élèves                                        Monnières le 8 Octobre 2013
de Champvans Monnières
4 rue des vergers
39100 MONNIERES

                                                                                              Monsieur le Ministre de  l'Education Nationale
                                                                                              110 Rue de Grenelle 
                                                                                               75357 PARIS SP 07 

Recommandé avec AR

 Monsieur le Ministre,

Je me permets de vous écrire au nom de tous les parents d'élèves de l'école de Champvans, pour vous exprimer notre colère et notre déception.

Notre école est une école située dans une petite commune du Jura, de 163 élèves répartis dans 4 classes élémentaires et 2 maternelles, et qui depuis la rentrée, suite à une fermeture d'une classe de maternelle, s'est vu bouleversée. Pourquoi cette fermeture ?
Une baisse des effectifs ? Non, nos effectifs ont augmenté……
Une prévision d'effectifs à la baisse pour les années à venir ? Non, nos effectifs sont en constante évolution....Une réouverture est déja envisagée pour la rentrée 2014 !

Nous n'arrivons pas à comprendre ni à accepter cette décision. Aujourd'hui, les 2 classes de maternelle accueillent 32 et 34 enfants.
Comment peut-on donner un enseignement décent dans de telles conditions ? Sans compter que 3 enfants parmi les 34 sont en grande difficulté et demandent une attention particulière ! Certes, une auxiliaire de vie scolaire est présente, nos enseignants sont formés et savent s'adapter, mais ne leur demandez pas l'impossible ! Venez nous rendre visite Mr le Ministre vous rendre compte du bruit, des cris, des pleurs... Comment voulez vous que nos enfants apprécient leurs premières années de scolarité, "leur première expérience éducative en collectivité" !!! Donnez nous les moyens pour que nos enfants aient envie et aiment aller à l'école.
Un des enseignants est déja tombé malade durant 24h. Son collègue a du gérer les 66 enfants durant 2 heures, le temps que le remplaçant arrive. Hé oui, les remplaçants sont tellement nombreux qu'ils sont situés à 60 kms... Imaginez vous gérer 66 enfants dans une même salle ! et nous ne sommes qu'au début de l'année !
Est-ce les conditions que vous nous promettiez Mr le Ministre lors de votre discours le 10 octobre 2012 pour nous présenter les avancées majeures de la loi pour la refondation de l'Ecole : la priorité au primaire, le "plus de maîtres que de classes", l'ouverture de 60 000 postes.


Cette fermeture de classe nous a également contraints à refuser les enfants de 2 ans et demi.  Champvans accueille depuis des décennies les plus petits. Nous avons les enseignants compétents, les locaux pour les accueillir, toutes les conditions sont réunies. POURQUOI ?

Je vous rappelle votre discours du mois de janvier 2013 : "Le développement de l'accueil en école maternelle des enfants de trois ans est un aspect essentiel de la priorité au primaire dans le cadre de la refondation de l'école; de nouveaux effectifs y seront consacrés dès la rentrée 2013.
La scolarisation d'un enfant avant ses trois ans est une chance pour lui et sa famille lorsqu'elle correspond à ses besoins et se déroule dans des conditions adaptées. Elle est la première étape de la scolarité et, pour beaucoup d'enfants, la première expérience éducative en collectivité."


D'autre part, la lutte contre l'illettrisme, grande cause nationale 2013, est un enjeu majeur de la réussite éducative. Donnez les moyens à vos enseignants d'y parvenir et toutes les chances à nos enfants pour travailler dans les meilleures conditions possibles. 34 élèves dans une classe..... Vous pensez réellement obtenir des résultats avec nos enfants avec des conditions pareilles !
"L'école que nous voulons construire est une école à la fois juste pour tous et exigeante pour chacun. Juste parce que tous les élèves, quelle que soit leur origine sociale ou géographique  doivent pouvoir bénéficier des conditions nécessaires à la réussite de leur scolarité."Janvier 2013. N'oubliez pas les écoles rurales !


Nous frappons à toutes les portes, les réponses sont les mêmes : L'inspecteur départemental affirme qu'il est dans l'impossibilité de nous attribuer un poste supplémentaire, il pourra tout juste couvrir les absences des enseignants. Il n'a personne ! Où sont vos 60 000 postes d'enseignants promis ? Dans le Jura ? Non nous les cherchons encore ! Où sont-ils ?
L'enseignant serait-il devenu une espèce rare en voie d'extinction ?

Monsieur le Ministre, vous nous aviez rassurés et remplis d'espoir avec vos discours, vos projets, de nouvelles conditions d'enseignement, d'accueil des plus petits...
Aujourd'hui, nous sommes tellement déçus et en colère ! Venez à Champvans. Venez vous rendre compte des vraies conditions dans lesquelles est dispensé l'enseignement actuellement en 2013 ! Donnez nous un enseignant afin que notre école retrouve la sérénité, les conditions pour pouvoir travailler décemment, et même nous laisserait la possibilité d'accueillir les enfants de 2ans et demi!

J'espère que notre appel au secours vous sensibilisera et espérons que vous nous apporterez une solution pour cette année scolaire qui s'annonce bien difficile pour nos enfants et nos enseignants.

Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Ministre, l'expression de ma très haute considération.                                                                                                   

                                                                                                            Pour l'APECM

         
                                                                                                                  S. Maire

Copies :     - Monsieur le Recteur
                  - Monsieur l'Inspecteur d'Académie

                  - Monsieur le Maire de Champvans


A Salins, Suite à l'entrevue avec Mme Kervella et M. Gresset hier   en mairie de Salins-les-Bains, pas d'amélioration en vue : 
Un poste d'EVS est bien prévu en urgence, mais il sera affecté sur la maternelle et le primaire (uniquement le matin à la maternelle), et malheureusement, ils ne trouvent personne pour le poste (via Pole-Emploi). Il faut dire que c'est un poste précaire au possible, 23h/semaine, payé 20h, au SMIC horaire. De plus, ces postes sont réservés à une certaine catégorie de chômeur, du coup les contraintes sont fortes (avoir - de 26 ans ou + de 50 ans, être au chômage depuis au moins un an ou au RSA...)

 La conclusion de tout cela, c'est que d'après l'inspectrice : "32 enfants par classe, c'est pas si mal, il y a pire ailleurs".
En gros, si on laisse faire, dans dix ans, il faudra se réjouir de classes à 40 gamins !
    :( Pas très encourageant...)

dimanche 6 octobre 2013

Le vent apportera-t-il la démocratie ?

A Champagnole on connaît bien VEOLIA. La firme élue de nos édiles n'a pas pour souci premier la santé du portefeuille de ses actionnaires, mais celle des consommateurs d'une eau sans bactéries, pesticides ou résidus d'antibiotiques.
Et cette eau purifié par ses soins – principe républicain d'égalité oblige – riches ou pauvres nous la payons au même prix. Ce n'est pas le cas de toutes nos boissons. Mais VEOLIA ne s'intéresse pas qu'à l'eau. Acteur engagé de la transition écologique, la firme s'implique partout où l'énergie peut être maîtrisée. Les transports publics par exemple. Demain des TGV VEOLIA pourraient sillonner la France sur un réseau ferré enfin ouvert au privé. Il n'est toutefois pas probable qu'un jour des TER VEOLIA conduisent l'étudiant San-Claudien à l'université de Besançon. Ce service restera public. Ne me demandez pas pourquoi.

VEOLIA succombe aussi au charme des énergies renouvelables. Depuis 2010 elle exploite la plus grosse centrale photovoltaïque de Franche-Comté, près d'un hectare et ½ de panneaux, sur les ombrières du parking PSA à Sochaux 
Sa filiale, Asset Management, gère le fond de placement Energies Renouvelables investi dans des sites éoliens en Champagne-Ardennes.
Celui de Champfleury, mis en service en 2011, composé de 6 éoliennes pour une puissance totale de 12MW, a dégagé en 2012 un chiffre d'affaires intéressant : 2.716.611 euros.

- Question  dont vous apprécierez la naïveté. Les fonds de pension australiens ont acquis le site du Lomont. Une société allemande projette d'installer des éoliennes au-dessus du Revermont, à Chamole, dont une ou plus pourraient, grâce à Jean Louis Dufour, devenir des moulins à vent citoyens. Espèrent-t-ils en tirer quelque profit, ou s'agit-il de pur militantisme écolo ?
- Deuxième question, pas si subsidiaire. Et si de ce vent qui bouscule nos forêts, et qui dans 20 ans n'aura pas faibli, on peut tirer quelque bénéfice financier, celui-ci doit-il promouvoir des activités locales ou gonfler les fonds d'institutions financières ?

A Champagnole nous avons un précédent : la Régie d'Electricité de la Roche. A l'automne 73, la guerre du Kippour fait flamber le prix du pétrole et le nucléaire prend son essor. Lors d'une première réunion écologique je suggère que soit remise en état la centrale de la Roche dont l'exploitation avait cessé en 1945. J'en estimais la production potentielle à 1.500.000kw/h/année.
La mode est au réacteur de 1000MW. Mon idée fait sourire. Mais élu maire en 1977, Maurice Fumey-Badoz, convaincu, lance les travaux. Bon an mal an, la centrale de la Roche produit ses 1.500.000 kw/h. C'est un apport financier intéressant pour la commune.

Ces moulins à vent, dont je rêve depuis plusieurs décennies de voir la version moderne animer le ciel au sommet du Mont Rivel, apparaissent au 6e siècle en Afghanistan. Ils sont à axe vertical. Ils servent à l'irrigation.
Les barons chrétiens, partis reconquérir le tombeau du Christ à la pointe de leur épée, les croisent en Palestine. Ils apparaissent en Europe au 12e siècle. Au Moyen-Age la rivière appartient au seigneur, qui possède le moulin à blé. S'il jouit du droit d'eau il n'a pas celui du vent. Les roturiers repèrent les buttes ventées et y installent leurs moulins à vent. Le vent leur apporte un peu de liberté.
Aujourd'hui les seigneurs ne sont autres que les grandes sociétés. Les roturiers c'est nous. Et le vent souffle pour tous.
Même si nos élus se pensent parfois comme les aristocrates de la démocratie, face au pouvoir financier, ils sont des roturiers comme nous. Ils ne représentent pas les intérêts des seigneurs VEOLIA ou AREVA, mais les nôtres.
Non, ils n'attendront pas qu'une société privée leur présente un projet de 6 éoliennes sur le Mont Rivel pour que celles-ci deviennent à leurs yeux esthétiques et désirables.
Les roturiers du Moyen Age nous montrent le chemin de l'émancipation.
Le passage d'un mode de production et de consommation de l'énergie à un autre n'annonce pas qu'un monde plus sain et des hommes plus et mieux employés mais aussi plus d'autonomie et de responsabilité. C'est un progrès de la démocratie.


Michel Moreau

vendredi 4 octobre 2013

Contre les stéréotypes, lancez-vous !

 Prix « Jeunesse pour l’égalité » : contre les stéréotypes, l’Observatoire lance un grand concours. Lancez-vous !

Un garçon, ça aime décider. Par contre les filles sont dociles par nature. Etre handicapé et sportif de haut niveau, c’est impossible. Les étrangers réussissent moins bien que les autres à l’école. Quand on est fille ou fils d’ouvriers, on n’est pas fait pour être ingénieur…Vous en avez assez des clichés ?

Alors à vos caméras, appareils photo, téléphones, ordinateurs… ! L’Observatoire des inégalités lance la deuxième édition du prix « Jeunesse pour l’égalité », un concours de communication visuelle (vidéos, photos, animations web, affiches…) pour vous donner la parole sur les inégalités et les discriminations. Quels sont les préjugés qui vous choquent ? Que trouvez-vous juste ou injuste ? Des filles aux garçons, des ouvriers aux grands patrons, des étrangers aux français, en passant par les homosexuels, les handicapés, les SDF… les stéréotypes sont nombreux.
Partez en campagne contre les idées reçues qui véhiculent les inégalités et les discriminations !

Comment ça marche ?

jeudi 3 octobre 2013

Santé: décision Nationale intéressante face aux aberrations locales

 Quelques mesures intéressantes très éloignées, hélas des décisions prises dans le Jura ou nous finançons des   Maisons de Santé, comme celle d'Authume, par  un don d'argent public à des praticiens privés !! Cela à quelques kilomètres de Dole,  c'est à dire loin de tout désert Médical!!!  




Des mesures pour favoriser l'installation des médecins et des chirurgiens-dentistes

Plusieurs textes publiés en août 2013 visent à favoriser l'installation des médecins et des chirurgiens-dentistes dans les territoires souffrant d'un déficit de praticiens.
Ces décrets et arrêtés rendent deux dispositifs existants plus attractifs et en créent un nouveau destiné à remédier au manque de dentistes dans ces zones.

1. Le contrat de praticien territorial de médecine générale (PTMG)

Ce contrat concerne les médecins généralistes non installés ou installés depuis moins d'un an en cabinet libéral. Le médecin signataire s'engage à exercer dans une zone qui se caractérise par une offre médicale insuffisante ou présentant des difficultés dans l'accès aux soins.
En assurant une activité de soins minimum, le praticien territorial de médecine générale perçoit une rémunération complémentaire qui lui garantit un revenu minimum mensuel (pendant 2 ans au maximum), ainsi qu'une protection en cas de maladie ou de maternité.
Il s'engage, en contrepartie, à respecter les tarifs opposables (sans dépassement) et à participer à la permanence des soins ambulatoires (soins qui ne sont pas délivrés au cabinet du médecin).

2. Le contrat d'engagement de service public (CESP)

  • Pour les étudiants en médecine générale (à partir de la deuxième année) et les internes : en contrepartie d'une allocation mensuelle durant ses études, le signataire s'engage, à la fin de sa formation, à conserver son activité dans une zone où l'offre médicale est insuffisante pour une durée égale à celle durant laquelle il aura perçu cette allocation.
  • Pour les étudiants en odontologie : ce contrat donne également droit au versement d'une allocation mensuelle en contrepartie d'un engagement d'exercice de leur activité de soins à la fin de leurs études.

Les Agences Régionales de Santé (ARS) déterminent les territoires bénéficiant de ces contrats.
Elles proposent également une aide à l'installation des cabinets médicaux dans ces zones.