jeudi 25 mars 2010

D’heureuses et incroyables retrouvailles… franc-comtoises















Dans le cadre de l’écriture d’un ouvrage historique, les recherches effectuées par le président des Francs-Comtois à Paris, Pierre Gérard, l’ont amené à s’interroger sur les origines de notre vénérable association, née le 1er janvier 1892. C’est ainsi qu’il a cherché des informations concernant le premier président de notre association, dont il avait deux éléments : il se nommait Viverge, était originaire du Jura.

Grâce aux archives de Paris (IV°), Pierre Gérard a pu obtenir l’acte de décès de François, Eugène VIVERGE, né le 2 mai 1867 à Champvans (Jura) et décédé le 6 mars 1916 à Paris. Il s’agit en effet de notre tout premier responsable de 1892 à 1902. Curieux de savoir s’il avait encore de la famille il a consulté l’annuaire et trouvé qu’à Champvans (Jura) habite un certain… Patrick Viverge. Après un contact fructueux, MM Gérard et Viverge ont décidé d’un rendez-vous.

C’est ainsi que Pierre Gérard, président des Francs-Comtois à Paris a rencontré le 24 mars 2010 à Paris, Patrick Viverge, conseiller général du Jura. Ils ont échangé sur cette heureuse coïncidence qui a permis ce retour en arrière saisissant : le président actuel des Francs-Comtois à Paris retrouve un descendant du président, après 118 ans d’oubli !

Tous deux ont manifesté la volonté de ne pas en rester là bien sûr et de multiplier les occasions d’actions communes et les rencontres. Depuis quelques années, l’association actuelle est ouverte aux Francs-Comtois « exilés » partout elle s’est « mondialisée ». En effet les adhérents et abonnés de notre magazine La Franche-Comté vue d’ailleurs sont pour deux-tiers des Francs-Comtois franciliens et pour le reste ils vivent en Franche-Comté ou dans d’autres régions de France (La Rochelle, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Orange, Perpignan, Privas, Saint-Étienne… et la Martinique) mais aussi à Bruxelles, Québec, New York ou La Nouvelle Orléans !
Tous pour un, chacun pour tous !… notre devise fondatrice de 1892, est plus que jamais à l’ordre du jour.

Pierre GÉRARD

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Por que no:)